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 On doute, on remet en cause.

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2 participants
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Rose J. Holland
Arrivant •• Alleluia
Rose J. Holland


— date d'inscription : 14/06/2009
— nb de messages : 54

— sexe du personnage : Féminin
— âge du personnage : 34
— nature : p a t r o n u s

— mood : On fait aller, entre deux analyses de textes apprises par cœur, on tente tant bien que mal à s'accorder quelques minutes de lecture ou d'ordinateur (: Arf, je me plains, je me plains, mais je pense à vous, Terminales qui avez le quadruple voire quintuple d'épreuves que j'ai moi xD.
— playlist : Tegan & Sara.
Coldplay.
The Virgins.
Gravenhurst.
BO de Pride & Prejudice.
[...]
— quote : "Usant à l'envi leurs chaleurs dernières,
Nos deux cœurs seront deux vastes flambeaux,
Qui réfléchiront leurs doubles lumières
Dans nos deux esprits, ces miroirs jumeaux."
●●Baudelaire, Les Fleurs du Mal, La Mort des Amants.
— situation du RP : OPEN

s w e e t / a b o u t / m e
Relationship:
Power: Pyrokinésiste; héhé, faites gaffe ou vous finirez comme cette greluche dans le bar.

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MessageSujet: On doute, on remet en cause.   On doute, on remet en cause. EmptyMar 16 Juin - 20:53

    Il est aux alentours de 3h pm lorsque Rose s’aventure dans l’une des petites ruelles de la ville. Elle n’en est pas pour autant lugubre & insalubre, bien au contraire puisqu’elle offre une petite visite au travers de l’histoire de Bunbury. De vieilles maisons en pierres blanches noircies au fil des ans témoignant des débuts difficiles du village. Un vieux troquet fermé depuis des années : c’est amusant comme il se voulait français « Café de la Paix ». Puis quelques fleurs fanées, dénaturant l’endroit paisible. Vêtue de son mythique jean bleu délavé et d’un débardeur marron, la jeune femme avançait, pensive, le long de la rue. Elle était vide, pas un chat. Cette perpétuelle solitude : où qu’elle aille personne ne l’attendait, pas même un vieux clochard à qui elle aurait pu donner quelques dollars. D’un autre côté, il fallait dire que Rose ne choisissait pas des endroits des plus fréquentés… Fuyait-elle donc la réalité ? Cette société à laquelle elle ne faisait pas partie. Ce monde qu’elle doit protéger, inlassablement.
    Promenade paisible avec toi-même… n’est-ce pas pathétique ?

    Un vieux banc un peu bancal se présenta à elle, comme sortit de nulle part. Elle sentait ses jambes faiblir ; cela faisait bientôt plus de deux heures qu’elle traînait dans Bunbury, à l’affût d’un fait intéressant ; distrayant. Sans même chercher à vérifier la stabilité du banc, elle s’y installa, se lassant tomber comme une vieille loque, manquant de briser le bois effrité du meuble. Les bras croisés, le regard vide, elle attendit. Patiemment.
    Elle se souvint de sa rencontre avec ce nex-necis, au bar, le matin même. Instinctivement elle glissa sa main dans la poche de son jean et en sortit une petite carte de visite aux couleurs sobres : A. Maxims O’Connel. Intriguant comme nom… C’est alors qu’elle se mit à réfléchir sur la vraie raison de sa présence sur Terre. Elle doutait, c’était sûr. A quoi bon courir après un but qu’elle n’atteindra point ?
    Ramasser les morceaux... Cela n’avance strictement à rien quand un verre se casse toutes les cinq minutes. Et puis, de quoi prendront conscience les humains si nous sommes toujours là, derrière eux, à ramasser les morceaux, à rattraper leurs conneries ?!
    Elle secoua violement la tête de droite à gauche, les mains sur les tempes. Elle n’avait aucun droit de douter : elle fut formée à débiter un discours qu’elle trouvait insensé depuis quelques mois. Elle fut envoyée sur Terre pour protéger une civilisation d’on ne sait quel danger… Elle lutte contre les nex-necis chaque jour afin d’envoyer valser leur projet d’esclavage de l’Homme. Mais elle n’a pas le droit de douter. Elle se laissa glisser le long du banc, s’allongeant nonchalamment sur celui-ci.
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Adriel a. O'connors
Jojo •• tu m'aimes ? Bein moi encore plus.
Adriel a. O'connors


— date d'inscription : 26/02/2009
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— sexe du personnage : Masculin
— âge du personnage : 34
— nature : p a t r o n u s

— situation du RP : OPEN

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Power: télékinésie

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MessageSujet: Re: On doute, on remet en cause.   On doute, on remet en cause. EmptyMar 16 Juin - 23:05

Apres sa petite promenade au bord de l'océan Adriel avait tourné les talons vers Bunbury. Plus précisément l'une des petites ruelles plutot calme ou les habitants évitaient certainement souvent de s'aventurer. Adriel lui ne craigniait certainement pas ce genre d'endrois ou l'ombre peut sans demander venir s'aventurer. Il avait prit un petit bus qui passé limite toute les heures prés de la mer et était arrivé directement a l'entré de la ville ou il avait enfin marché sans vraiment regarder ou il allait. C'était par instinct ! De cette demarche souple caractéristique de beaucoup des partonus il traversa une petite place déserte et s'arreta enfin dans une ruelle. Il vint se poser dans l'ombre a deux pas d'un petit banc. Est-ce le destin qui fit venir s'assoire sur ce meme banc une désse ? Une patronus plus exactement. Adriel l'a vit arriver de loin, les doux rayons du soleil convergés vers elle comme le metal attiré par un aimant. Adriel fut assez troublé, car généralement la présence d'un autre patronus était évident. Pourtant celle ci vint s'assoire sur le banc comme si elle ne l'avait pas vu. La jeune déesse semblait dans ses pensés les plus profondes. Surement se cherchait-elle des réponses à ses propres questions. Lui même parfois s'éxiler au bord de l'océan et cherchait le pourquoi du comment de sa vie. Adriel sortit enfin de l'ombre et se présenta devant la jeune femme.

"Que peux faire une jeune déesse seule dans un endrois pareil a part remettre en cause son existence proprement dite ? A moins que vous soyez perdue, ce que je doute evidement."
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Rose J. Holland
Arrivant •• Alleluia
Rose J. Holland


— date d'inscription : 14/06/2009
— nb de messages : 54

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— mood : On fait aller, entre deux analyses de textes apprises par cœur, on tente tant bien que mal à s'accorder quelques minutes de lecture ou d'ordinateur (: Arf, je me plains, je me plains, mais je pense à vous, Terminales qui avez le quadruple voire quintuple d'épreuves que j'ai moi xD.
— playlist : Tegan & Sara.
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The Virgins.
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Nos deux cœurs seront deux vastes flambeaux,
Qui réfléchiront leurs doubles lumières
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MessageSujet: Re: On doute, on remet en cause.   On doute, on remet en cause. EmptyMar 16 Juin - 23:28

    [Héhé, une membre qui conseille à une admin de faire attention aux fautes d’orthographe xD : attention aux fautes, pour moi qui suis une grande maniaque à ce niveau là, ce n’est pas que ça m’agace, mais je ne trouve pas ça agréable =S.]

    Les idées, les opinions, les questions, les exclamations fusaient dans sa tête telle une explosion. Alors qu’elle tentait en vint de trouver une excuse à ses doutes, elle fut surprise par un jeune homme qu’elle n’avait auparavant pas remarqué. Se redressant précipitamment sur le banc, elle laissa échapper un petit rire amusé, sa main venant comme chercher à réguler son rythme cardiaque. Le temps de retrouver ses esprits, de mettre de côté ses petits soucis, elle détailla discrètement son interlocuteur : un patronus, pas de doute. En général, il ne faut pas chercher bien loin : beaux, jeunes & forts, sans parler de ce petit courant électrique que ressentait Rose en leurs présences. Le ton de l’homme se fit amical. Déboussolée, elle se leva rapidement, faisant ainsi virevolter la carte de visite de ce… nex-necis, Maxims. Ne souhaitant pas se faire réprimander, elle harponna le bout de carton et le fourra au fond de sa poche.
    Idiote, la balle dans le cœur, l’expression ouverte de tes doutes fasse à ce… Maxims, et maintenant, qu’est-ce que cela va être ?!

    Elle se rapprocha alors du jeune homme pour lui serrer la main : habitude prise à force de côtoyer ces humains. Ses mouvements étaient amples, gracieux et totalement non calculés : et oui, elle se comportait bizarrement lors de ses périodes « que fais-je réellement sur Terre ? ». Tout sourire, elle répondit aisément à son interlocuteur :

    « Depuis ces 2 longues années que j’habite dans ce petit village, j’ai prit l’habitude de ne plus m’y perdre vous savez ! (Elle fit une pause, le regard orienté vers le sol.) Non, en réalité je viens souvent me ressourcer dans cette petite ruelle : faire le vide, remettre de l’ordre dans ce cerveau hyper-actif… et oui, remettre en cause don existence. »
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